23 février 1761 (2) : Ferner écrit dans son journal :
Vag jag hos Clairaut till middagen ensam. M. Tournière [cf. Tournière] har fått hinder. Jag fölgde med Hr Clairaut och Mamsell [Mlle Gouilly, cf. [c. juin] 1757 (2)] E. M. till La foire S[ain]t Germain att se de Italienska Marionetterna som hängde på ståltråar och fördes dermed framför åskådarena. Då man var på någon distance så att de fina ståltråarne, hvarmed händerne fördes ej sågos, var detta ett artigt samspel nog ; men blef rätt ledsamt när man sedt det mer än ¼ tima (Ferrner 56, p. 374).
Chez Clairaut, seul jusqu’à midi. M. Tournière [cf. Tournière] a eu des problèmes pour arriver. Nous avons fait route ensemble avec M. Clairaut et Mlle [Mlle Gouilly, cf. [c. juin] 1757 (2)] l’après-midi à la foire S[ain]t Germain pour voir les marionnettes italiennes qui sont pendues à un fil d’acier et qui sont ainsi présentées aux spectateurs. Vu d'assez loin, d'où l'on n’aperçoit pas les fins fils d’aciers grâce auxquels les bras sont agités, c’est un spectacle assez beau ; mais après l’avoir vu un ¼ heure, il devint assez triste (Johan Sten, CP, 30 septembre 2010). Ferner avait déjà cité Clairaut dans son journal le 18 (cf. 18 février 1761 (2)), et le refera le 2 mars (cf. 2 mars 1761 (2)).
Courcelle (Olivier), « 23 février 1761 (2) : Ferner écrit dans son journal », Chronologie de la vie de Clairaut (1713-1765) [En ligne], http://www.clairaut.com/n23fevrier1761po2pf.html [Notice publiée le 19 février 2012].
